" Les 4 saisons de TerrAgree "
UNE ALLIANCE ARTISTIQUE ET STRATÉGIQUE ENTRE TERRAGREE & NATACHA SIBELLAS
"J’aime appuyer ma main sur le tronc d’un arbre devant lequel je passe, non pour m’assurer de l’existence de l’arbre - dont je ne doute pas - mais de la mienne. » Christian Bobin
Au cœur de la forêt se tient un arbre.
NOTRE ARBRE.
Source d'inspiration, repère silencieux, témoin d’un siècle de vie.
Il n'est pas seulement un sujet, il est le fil conducteur, la mémoire qui traverse la série.
À travers lui,
4 vies, 4 époques, 4 saisons se répondent.
Témoin immobile,
il traverse les saisons comme on traverse les âges.
Autour de lui, les êtres passent, grandissent, s’aiment, disparaissent...
Lui demeure - non pas figé, mais fidèle.
Fidèle à la lumière, aux vents, aux saisons, aux mémoires qui le frôlent.
Ces images ne racontent pas seulement la forêt.
Elles racontent le temps, celui qui renaît, s’enflamme, mûrit, puis se dépose.
L'arbre relie ce que nous croyions séparé :
l'innocence, la passion, la maturité, la sagesse.
Cette série raconte une histoire,
Et peut-être, aussi, la vôtre.


“La saison des possibles”,
Le siècle s’ouvre dans l’innocence.
Trois enfants jouent autour de l’arbre comme autour d’un géant bienveillant.
La forêt renaît, la vie s’invente.
Tout est promesse, tout est possible.
Le printemps a l’insouciance de ceux qui n’ont pas encore connu le temps.
1925

“Promesse d’un futur commun”
Les années ont passé.
Le même arbre, la même clarté,
mais un autre âge de la vie.
Un couple s’y retrouve, porté par la chaleur, par le futur qu’ils rêvent ensemble.
L’été est un souffle vibrant et lumineux, où l’humanité et la nature battent au même rythme.
1960

“Le souffle de l’automne”
La lumière baisse, se nuance.
Les couleurs s’approfondissent.
Le couple porte en lui la maturité du vécu, la richesse des saisons traversées.
L’arbre devient confident :
il sait le poids des années,
il connaît la douceur de ce qui reste comme la nostalgie de ce qui s’efface.
1990

“L’empreinte du temps”
L’hiver n’est pas la fin, mais un apaisement.
Une femme âgée se tient là, droite, fragile et forte à la fois.
Elle retrouve l’arbre comme on retrouve un ami.
Dans le silence froid de la saison,
il reste la trace de toutes les vies passées,
et la sienne continue d’y résonner.
La forêt respire encore en elle.
2025
UN ARBRE RÉFÉRENT / POURQUOI ?
UN SYMBOLE UNIVERSEL DU TEMPS QUI PASSE
L’arbre est l’un des rares éléments de la nature qui traverse les siècles. Il porte en lui les marques des saisons, des tempêtes, du soleil, du vent. En choisissant un arbre référent, nous souhaitons ancrer notre projet dans cette temporalité longue, où chaque cicatrice, chaque branche tordue devient le reflet d’une histoire qui s’écrit en silence.
UN REPÈRE VISUEL ET ÉMOTIONNEL
Cet arbre devient un fil rouge, un point d’ancrage pour le regard. Au fil des saisons, il change sans jamais disparaître. Il nous rappelle que, même lorsque tout autour de nous évolue, certains éléments restent constants, témoins immobiles des transformations du monde.
UN DIALOGUE ENTRE L'ART ET LA NATURE
Photographier le même arbre à différentes périodes de l’année, c’est capter la lumière changeante, les textures nouvelles, les nuances inattendues. Il devient alors un véritable partenaire artistique, un modèle qui se réinvente à chaque prise de vue.
UNE MÉTAPHORE DE LA CONDITION HUMAINE
À travers lui, nous parlons de résilience, de croissance, d’enracinement et de transformation. Il symbolise la force tranquille, la capacité à s’adapter sans renier ses racines. C’est une façon poétique d’aborder des thèmes universels comme le temps, la mémoire, la fragilité et la permanence.
UN HOMMAGE AU PATRIMOINE FORESTIER
Cet arbre n’est pas isolé : il fait partie d’un écosystème, d’un patrimoine vivant.
En le mettant en scène, nous rendons hommage à la richesse des forêts, à leur beauté brute et à leur importance pour l’équilibre de notre planète.